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MessagePublié : sam. mars 02, 2024 7:42 am 
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Bonjour

Trouvé le parcours en Picardie et Normandie de Roger Couderc, célèbre journaliste français des années 60/70, spécialiste du rugby;

Né en 1918 à Souillac (Lot) Roger Couderc est mobilisé en 1939 au sein du 12ème régiment d’artillerie coloniale à Agen, en compagnie de l’acteur Charles Boyer.

Témoin de la première bataille de Normandie au cours de laquelle il est capturé, il reste profondément marqué par ces dramatiques événements qu’il relate dans le livre « Adieu les petits » (sport Solar 1983)
Page 105: « Je fus mobilisé en 1939, à la déclaration de guerre. On m’envoya à Agen au 12ème régiment artillerie coloniale… Le temps était passé où l’on descendait en bandes joyeuses chantant « Vive les artilleurs ! ma mère ». Malgré l’été agréable sur les bords de la Garonne, on ne voyait que les visages graves, inquiets, apeurés. On se souvenait trop de la « der des ders » pour mettre une fleur à son fusil. Et puis un matin de septembre, au beau moment où le rugby devait renaître après la torpeur de l’été, nous avons été rassemblés pour une toute autre mêlée. Aussitôt nos classes terminées, on nous a envoyé au camp de Gers, près de Tarbes, puis de là à Bordeaux, au camp de Souge. Dès que notre régiment a été formé, on nous a fait monter en ligne. Il y avait surtout des Sénégalais qui, juchés sur des chevaux, tiraient des canons de 155. C’est au-delà de Forges-les-Eaux que nous devions subir notre baptême du feu, Affreuse cérémonie. Des avions allemands nous mitraillaient en rase-mottes comme des bêtes. Terrés dans les fossés, nous ne pouvions qu’atteindre la fin de l’attaque. Tout à coup, je vis mon bras tout ensanglanté. Je crus que j’étais blessé, puis je sentis du sang chaud sur ma figure. C’était un pauvre cheval éventré dont la vie s’évanouissait dans un ruisseau de sang qui coulait au-dessus de moi. Derrière les chasseurs déboucha une vague de bombardiers qui fit tout sauter, les chevaux, les canons, les chariots et les munitions. Quand le pilonnage prit fin, ce fut la panique, la débandade. Pendant des jours, nous avons marché de jour, de nuit sans manger. Nous tirions nos chevaux qui n’en pouvaient plus. Le mien s’effondra, je l‘abandonnai sur le bord de la route. Mais il fit encore des efforts désespérés pour me suivre. C’était atroce et bouleversant. Bien que j’en eusse le cœur soulevé, je dus tirer mon revolver et l’abattre afin qu’il ne souffrit plus. Un peu plus loin, j’ai été fait prisonnier. Nous avons été rassemblés à Laval d’où l’on nous expédia à Nuremberg. »

Interné au stalag XIII A à Hohenstein près de Nuremberg. Roger Couderc participe à la reconstruction d'un stade. Blessé au genou lors d’un bombardement, il est autorisé après trois ans de captivité à rentrer en France. Il est désormais de santé fragile, ce qui ne l'empêche pas de rejoindre le maquis du Gers.

Après le conflit, il s’initie au métier de journaliste dans différents journaux. Après un passage à la radio française, il rentre à la télévision en 1955 et se spécialise dans le reportage sportif : rugby, catch et sport automobile.

Via ses commentaires enthousiastes et enflammés, parfois chauvins mais toujours bon enfant, il contribua largement à populariser le rugby en France. Son « Allez les petits » pour encourager le XV de France est resté célèbre. Nommé Chevalier de la Légion d’Honneur en 1982, Roger Couderc prend sa retraite en 1983, Il décède l’année suivante. De très nombreux stades ou complexes sportifs portent aujourd’hui le nom de ce célèbre journaliste sportif plongé, comme des millions de jeunes Français dans le chaos de mai/juin 1940.

Hervé Savary


Pièces jointes :
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MessagePublié : sam. mars 02, 2024 9:32 am 
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Inscription : sam. oct. 24, 2009 10:38 am
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Localisation : Somme
Bonjour Hervé, merci de nous avoir éclairés sur le parcours de Roger COUDERC pendant la Seconde Guerre mondiale, pérégrinations que je ne connaissais pas.

On trouve sa trace dans la liste officielle N° 5 de prisonniers français du 22 août 1940

COUDERC Roger né le 12 juillet 1918 à Souillac (Lot), brigadier au 208e R.A.C.


MPF du 208e RA dans l'Eure, l'Oise et la Seine-Maritime.


Pierre PEYTOUR
Mort pour la France le 9 juin 1940 à Igoville (Eure)
Né le 1er juillet 1905 à Saint-Jory-de-Chalais (Dordogne)
34 ans, 11 mois et 8 jours
208e régiment d'artillerie (208e RA)
Cause du décès : tué au combat
Sources : Service historique de la Défense, Caen
Cote : AC 21 P 130409


Julien PERINET
Mort pour la France le 26 mai 1940 à Royallieu (Oise)
Né le 8 août 1915 à Pellevoisin (Indre)
24 ans, 9 mois et 18 jours
208e régiment d'artillerie lourde divisionnaire (208e RALD)
Cause du décès : des suites de blessures
Sources : Service historique de la Défense, Caen
Cote : AC 21 P 130252

Charles Jacques HOLWEG
Mort pour la France le 8 juin 1940 à Compiègne (Oise)
Né le 30 septembre 1908 à Vendenheim (Bas-Rhin)
31 ans, 8 mois et 8 jours
208e régiment d'artillerie lourde divisionnaire (208e RALD)
Sources : Service historique de la Défense, Caen
Cote : AC 21 P 53237

Marcel René GEAN
Mort pour la France le 10 juin 1940 à Saint-Jean-aux-Bois (Oise)
Né le 16 septembre 1911 à Irancy (Yonne)
28 ans, 8 mois et 24 jours
208e régiment d'artillerie lourde divisionnaire (208e RALD)
Cause du décès : bombardement
Sources : Service historique de la Défense, Caen
Cote : AC 21 P 189585

Jean FERRAND
Mort pour la France le 11 juin 1940 à Montépilloy (Oise)
Né le 22 novembre 1913 à Alzen (Ariège)
26 ans, 6 mois et 19 jours
208e régiment d'artillerie (208e RA)
Sources : Service historique de la Défense, Caen
Cote : AC 21 P 183648

Maxime LANDSMANN
Mort pour la France le 11 juin 1940 à Montépilloy (Oise)
Né le 2 août 1913 à Lunéville (Meurthe-et-Moselle)
26 ans, 10 mois et 9 jours
208e régiment d'artillerie lourde (208e RAL)
Sources : Service historique de la Défense, Caen
Cote : AC 21 P 63612


Léon Pierre Léopold Calixte BONNIN
Mort pour la France le 18 juin 1940 à Elbeuf (Seine-Maritime)
Né le 22 juillet 1906 à St Pierre du Chemin (Vendée)
33 ans, 10 mois et 27 jours
208e régiment d'artillerie lourde (208e RAL)
Sources : Service historique de la Défense, Caen
Cote : AC 21 P 26900



Bien cordialement
Eric A.


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MessagePublié : dim. mars 03, 2024 9:13 am 
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Inscription : sam. oct. 24, 2009 10:38 am
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Localisation : Somme
Bonsoir Eric,

Faisant suite à mon envoi de ce matin consacré au journaliste sportif Roger Couderc suivi, en retour, de tes indications concernant le régiment d'affectation en 1940 (208°RALD), j'ai retrouvé l'article suivant qui peut situer le jour et lieu de capture de Roger Couderc (Sillé le Guillaume dans la Sarthe à l'Ouest du Mans), malheureusement ponctuée par l'exécution sommaire de combattants africains;

LES ALPES MANCELLES LIBEREES
Publié le 30 Juin 2020

Histoire. Le 19 juin 1940, une journée tragique gravée dans les mémoires
Le 19 juin 1940, 14 tirailleurs sénégalais ont été fusillés à Sillé-le-Guillaume (Sarthe) par les Allemands. Récit de cette tragique journée.
Ce 19 juin, la cérémonie prévue en l’honneur des 14 tirailleurs sénégalais fusillés à Sillé-le-Guillaume par les Allemands, n’a pas pu se tenir en raison du Covid-19. Le souvenir du 19 juin 1940 est cependant bien présent. Jean-Paul Taupin président du Souvenir Français revient sur cette tragique journée, avec l’aide précieuse du documentaliste André Hu.


« Le 19 juin 1940 les troupes d’occupation ont fusillé sans procès des militaires Français. Fait qui n’est malheureusement pas unique. On estime à plusieurs milliers le nombre de nos soldats ayant subi le même sort à cause de leurs origines. Nous n’avons à ce jour trouvé aucun rapport officiel décrivant cette sombre journée dans le détail.
Tout commence le 17 juin 1940…
Le 17 juin 1940 un élément du 208 ème régiment d’ artillerie lourde coloniale arrive à Sillé-le-Guillaume. Cet élément comprend des véhicules automobiles et hippomobiles quelques canons, et toute l’intendance nécessaire a un régiment en marche.
De nombreux soldats en uniforme kaki investissent alors le centre-ville, ils se replient sur des positions prévues à l’avance. À la gare plusieurs trains les attendent, les locomotives sont sous pression ; l’embarquement commence ; les chevaux dans les wagons à bestiaux, le matériel sur les plateaux et les hommes avec armes et bagages dans des wagons de marchandises et de voyageurs.

Le convoi mitraillé
Vers 16 heures, des avions Allemands ayant repéré cette animation mitraillent le convoi qui part rapidement en direction de Laval qu’il n’atteindra pas car tous seront capturés le 18 juin.
Dans cette précipitation de nombreux soldats n’ont pu être embarqués. Le 18, arrive un nouveau convoi non pas des Français mais des soldats Allemands et c’est à ce moment-là qu’ils sont faits prisonniers.
Les habitants voient avec tristesse et amertume ce triste spectacle, ils font la connaissance de ces uniformes verts et cette croix sur les portières des véhicules qu’ils devront supporter pendant 4 ans. Le gradé dont la section garde nos soldats s’aperçoit que parmi eux il y a des soldats d’origine Africaine.

Ne sachant que faire il va prendre des ordres auprès de l’officier supérieur qui commande le détachement. Lui-même reçoit des informations du haut commandement qui stipule » qu’il est établi que des militaires coloniaux ont mutilé d une façon bestiale des soldats Allemands et qu’envers ces soldats indigènes toutes bienveillances serait une erreur et qu’ils sont à traiter avec la plus grande rigueur. »
Comment cet ordre a-t-il été interprété ?
Cet ordre a sans doute fait l’objet d’une stricte application des directives par un officier acquis au régime nazi. Le 19 juin vers 14 heures on les sépare de leurs camarades et on les emmène, entourés de militaires en armes. Quelques artilleurs se doutent de ce qui va arriver, malheureusement ils ne peuvent leur venir en aide. Passant place de la république de courageux Silléens arrivent a détourner l’attention des Allemands et réussissent a sauver du massacre un ou deux soldats africains.
Ils passent devant l’hôtel de Bretagne puis descendent la rue de Sablé aujourd’hui hui rue du Général Leclerc, passent sous le pont prennent a gauche la rue de la corderie puis arrivent sur le boulevard des jardiniers. Après 200 mètres une barrière est ouverte et on les fait entrer dans cette prairie « le pré Guittet », habitués à exécuter les ordres, ils sont confiants ne se doutant pas que la mort est toute proche, le peloton d exécution les fait mettre dos au talus. Derrière on peut entrevoir la gare SNCF puis un ordre est donné par le chef de groupe, des rafales de fusils-mitrailleurs résonnent. 14 combattants tombent à terre.
Inhumés dans une fosse commune
À la fin de cette abominable tuerie, la section repart tranquillement de par où elle était venue. Le 20 juin au matin le maire se déplace et va sur le lieu du massacre, les corps sont là, les mouches commencent à arriver, le sang a séché. Craignant une épidémie, le maire se rend à la kommandantur, bâtiment en centre-ville réquisitionné et demande à l’officier responsable du secteur s’il peut faire enlever les corps. L’autorisation lui est donnée. Le maire demande aux éboueurs d aller chercher les corps et de les amener au cimetière. Le corbillard n’était autre que la charrette qui servait a ramassé les ordures avant de les mettre en terre on les fouille.
Quelques effets personnels sont trouvés des livrets militaires et plaques d’ identifications pour un certain nombre on les met dans un trou prévu à cet effet, côte à côte comme ils étaient au combat et a 11h30 on jette sur ces cadavres une terre qui n’est pas celle de leur pays de naissance et on les oublie pendant plusieurs mois.

Réinhumés en mars 1941
Le 2 décembre 1940 le préfet de la Sarthe, mis au courant demande au maire si l’inhumation a été faite conformément aux prescriptions habituelles, c est à dire, avec cercueils, à la profondeur réglementaire et dotée d un emblème permettant leur identification.
Le 6 décembre, le maire de Sillé répond par la négative les 14 Sénégalais ont été inhumés dans une fosse commune, sans cercueil, sans emblèmes funéraires.
Le 15 février 1941 la préfecture ordonne que les artilleurs soient exhumés et réinhumés dans des cercueils avec une croix provisoire et ce, en présence d un officier Allemand le 19 février, le maire sollicite la présence de cet officier. La date de la mise en terre est prévue pour le 17 mars 1941 à 15 heures.


Inauguration de la stèle le 17 avril 1999
Il est a signaler que cette triste besogne fut effectuée en partie par une personne qui a cette époque avait 16 ans et qui est décédée en 2019. C’est avec beaucoup d’émotion, qu’elle m’a raconté ce transfert de corps de la fosse commune pour la mise en cercueil. Une inauguration de la stèle restaurée a eu lieu le 17 avril 1999 en présence de l’ambassadeur du Sénégal, du sous-préfet de la Flèche, ainsi que de nombreuses personnalités civiles et militaires, des élus locaux, de porte-drapeaux ainsi qu’un peloton du 2 eme RIMA.

Lors du congrès départemental du Souvenir Français qui se tenait a Sillé-le-Guillaume des descendants de la famille Faye dont les corps sont dans le carré militaire étaient parmi nous pour un recueillement des plus émouvant. Alors, ayons une pensée pour tous ces hommes venus de terres lointaines qui n’ont pas hésité au risque de leur vie a nous venir en aide ne les oublions pas a nous le souvenir a eux l’ immortalité. »

En espérant que ce texte puisse t'intéresser (tu peux le publier si tu le souhaites). Destin tragique de ces hommes

Bonne soirée
Amicalement
Hervé Savary


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MessagePublié : dim. mars 03, 2024 9:28 am 
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Inscription : sam. oct. 24, 2009 10:38 am
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ROGER COUDERC - 1940 - ADIEU LES PETITS


MASSACRE DE SILLÉ-LE-GUILLAUME - ASSASSINAT DE SOLDATS FRANCAIS ORIGINAIRES D'AFRIQUE


Baldé SAKAMISSA
Mort pour la France le 19 juin 1940 à Sillé-le-Guillaume (Sarthe)
Né en 1906 à Tongue (Guinée)
34 ans
militaire
Unité : 208e régiment d'artillerie lourde coloniale (208e RALC)
Mention : Mort pour la France
Cause du décès : fusillé par les allemands
Sources : Service historique de la Défense, Caen
Cote : AC 21 P 149567

SAMBARE SARR
Mort pour la France le 19 juin 1940 à Sillé-le-Guillaume (Sarthe)
Né en 1914 à N'Diaffati (Sénégal)
26 ans
militaire
Unité : 208 e RAC
Mention : Mort pour la France
Sources : Service historique de la Défense, Caen
Cote : AC 21 P 151330


BADJI FAMARA
Mort pour la France le 19 juin 1940 à Sillé-le-Guillaume (Sarthe)
Né en 1909 à Bassènes Mandouar sbon de Bégnona - cercle de Ziguinchar (Sénégal)
31 ans
militaire
Unité : 1er groupe d'artillerie coloniale (1er GAC)
Mention : Mort pour la France
Sources : Service historique de la Défense, Caen
Cote : AC 21 P 11854

BAKARY TIGANA
Mort pour la France le 19 juin 1940 à Sillé-le-Guillaume (Sarthe)
Né en 1906 à Manakono cercle de Kedougou (Sénégal)
34 ans
militaire
Unité : régiment d'artillerie coloniale (RAC)
Mention : Mort pour la France
Cause du décès : fusillé par les allemands
Sources : Service historique de la Défense, Caen
Cote : AC 21 P 12470

Sakamissa BALDE
Mort pour la France le 19 juin 1940 à Sillé-le-Guillaume (Sarthe)
Né en 1909 à Eogui cercle de Labé (Guinée)
31 ans
militaire
Unité : régiment d'artillerie coloniale (RAC)
Mention : Mort pour la France
Sources : Service historique de la Défense, Caen
Cote : AC 21 P 12654

DIATTA FAYE
Mort pour la France le 19 juin 1940 à Sillé-le-Guillaume (Sarthe)
Né en 1915 à Djilass - ctn d'Angane - cercle de Kaolack (Sénégal)
25 ans
militaire
Mention : Mort pour la France
Cause du décès : fusillé par les allemands
Sources : Service historique de la Défense, Caen
Cote : AC 21 P 119999

Guingue KAGNACK
Mort pour la France le 19 juin 1940 à Sillé-le-Guillaume (Sarthe)
militaire
Unité : régiment d'artillerie coloniale (RAC)
Mention : Mort pour la France
Cause du décès : fusillé par les allemands
Sources : Service historique de la Défense, Caen
Cote : AC 21 P 62328

Camara KALY BAUDIAN
Mort pour la France le 19 juin 1940 à Sillé-le-Guillaume (Sarthe)
Né en 1917 à Ambambe (Madagascar)
23 ans
militaire
Unité : 33e régiment d'infanterie (33e RI)
Mention : Mort pour la France
Cause du décès : fusillé par les allemands
Sources : Service historique de la Défense, Caen
Cote : AC 21 P 64343

Sarr M'BAGNICK
Mort pour la France le 19 juin 1940 à Sillé-le-Guillaume (Sarthe)
militaire
Unité : régiment d'artillerie coloniale (RAC)
Mention : Mort pour la France
Cause du décès : fusillé par les allemands
Sources : Service historique de la Défense, Caen
Cote : AC 21 P 94310

Diop MANDIAYE
Mort pour la France le 19 juin 1940 à Sillé-le-Guillaume (Sarthe)
Né à Ouakhal Diam
militaire
Mention : Mort pour la France
Sources : Service historique de la Défense, Caen
Cote : AC 21 P 87490

Gning NGOR
Mort pour la France le 19 juin 1940 à Sillé-le-Guillaume (Sarthe)
militaire
Mention : Mort pour la France
Cause du décès : fusillé par les allemands
Sources : Service historique de la Défense, Caen
Cote : AC 21 P 98227

Dévuf SIMBO
Mort pour la France le 19 juin 1940 à Sillé-le-Guillaume (Sarthe)
Né en 1915
25 ans
militaire
Mention : Mort pour la France
Cause du décès : fusillé par les allemands
Sources : Service historique de la Défense, Caen
Cote : AC 21 P 160730



Bien cordialement
Eric Abadie


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